La France libre

Le seul résultat des propos stupides et démagogiques de la campagne de Hollande est le suivant :

fuite hors de France des managers, des chefs d'entreprises, des meilleurs cadres, des capitaux et des investisseurs. Et que va-t-il se passer à présent ?

Cela se fera en douceur...in-co-gni-to pour ne pas ébranler le mammouth gouvernemental et son aiguillon Montebourde.

"Surveillez votre depart, celui des centres de decision, et des investissements... Il n'y aura pas de vague mais l'investissement se fera "a minima", il y aura un tout petit peu de renouvellement/remplacement pour faire "semblant". Pour un dirigeant industriel européen sensé, la France est à eviter ABSOLUMENT. La stratégie, est de bien gérer la sortie". "Barrons-nous incognito" se disent-ils en coulisses

Dans la croyance écolo-socialiste, les patrons sont par essence des voyous : l'économie française ne peut donc fonctionner que grâce à la caste des fonctionnaires et aux distributions sans limites de l'Etat providence.

Retour à la réalité : La situation se dégrade encore plus vite qu'avec Monsieur Sarkozy, avec la fuite des talents et des entrepreneurs, la fuite des capitaux, les délocalisations massives des usines, sièges sociaux et entreprises.

Il y a peut-être 300 000 jeunes Français actifs à Londres à ce jour considérée comme la sixième ville française !

Le mal est fait. Cette hémorragie souterraine a commencé dès le jour ou a été élu Mollande, car certains avaient anticipé sa politique. C'est un personnage qui est à côté de la plaque, qui ne pense qu'à son image et à maintenir son électorat en faisant de la pure démagogie, il ne changera pas.

Mollande est un haut fonctionnaire depuis toujours.
Il n'a jamais mis un pied dans le privé.

La "lutte " contre le chomage est une stupidité sémantique et un attrape-nigauds. Les médias en sont les complices. Car sans relance des industries et du commerce, pas d'emplois créés donc, toujours plus de chômeurs et d'assistés . Les choses les plus simples échappent toujours aux grands esprits. Et Dieu sait qu'il y en a à l'ENA.

Il nous faut un changement de gouvernement avec un président qui soit conscient que le moteur d'un pays, c'est l'industrie. Malheureusement ceux qui le soutiennent comprendront trop tard qu'ils ont scié la branche sur laquelle ils sont assis !