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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 22:34

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Quelle marge de manoeuvre a le président aujourd'hui ? Il est facile de casser du sucre sur son dos.
Nos institutions traversent une grave crise économique et sociétale mais personne ne veut faire d'efforts !
Les riches ne veulent plus payer. Les assistés veulent rester sous perfusion. Les fonctionnaires ne veulent pas changer de système de retraite. Les élus ne veulent pas toucher à leurs indemnités. Les sidérurgistes veulent un salaire 40 fois plus important que le coût du travail en Chine. Personne ne veut faire d'efforts mais c'est la faute du président.

 

Les Français jugent les candidats sur la taille du paquet cadeau qu'ils promettent. Ils n'ont pas encore compris que le meilleur candidat sera celui qui imposera des mesures impopulaires ! Nos hommes politiques manquent singulièrement d'un sens des responsabilités. Nous avons aussi souffert d'un manque d'opposition constructive depuis dix ans qui aurait permis de lancer pus tôt des réformes indispensables ; au contraire celle-ci s'est contentée de vitupérer, de calomnier, de bloquer toute tentative de modification. "C'est la faute du président vous dis-je ! Il est responsable de tous nos malheurs", mais elle, elle n'est responsable de rien.... Sauf du naufrage dans lequel elle nous entrainera inéluctablement si elle décroche la présidentielle

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 12:01

La question à laquelle pendant sa campagne François H. n’a pas su répondre est :

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- Quelle posture vraie, dois-je adopter pour être en capacité d’être entendu ?

Ayant choisi celle de Mitterrand, il apparaît à l’évidence comme un usurpateur, lequel n’a de cesse d’interpeller le subconscient de ses auditeurs. Qui ne s’est pas surpris à s’interroger sur cette posture ! Cette déconnexion avec le réel.
Certes, on n'est pas détesté par hasard, on n'est pas non plus aimé sans raison, mais à ne pas être soi-même et qui plus est à trop se répéter, on crée de la dévaluation.


Les citoyens se rendent bien compte, que les enjeux déterminants pour notre avenir ne trouvent pas de la part de François H. de réponse politique à la hauteur des situations aussi complexes que diverses.

C’est ainsi que le doute vis à vis de celui-ci, s’est effectivement amplifié avec le fantôme d’un Mitterrand traînant ses casseroles. Avant de choisir cette posture François H. aurait dû s’informer auprès des spécialistes en communication, voir des psy. Thomas D’Aquin, lui aurait non pas appris, mais très certainement rappelé que "la première instance morale de l’homme est la conscience éclairée, c’est-à-dire un homme qui s’est informé".

Sur ce point majeur, semble t-il, il a omis de prendre conseil, et à l’évidence le risque du rejet est désormais fort. Tiendra t-il encore plus de 10 jours dans ce costume devenu finalement plus encombrant que prévu ?

Pas si sûr, d’autant que Tonton n’est pas content, mais alors pas du tout, qu’on lui ait piqué sa veste sans sa permission. Alors la veste...

 

... mais en plus, le mensonge par omission est déformateur de la vérité. Le mensonge de François H. (comme furent ceux de Mitterrand), même par omission est un très vilain défaut, car même un seul suffit à ne plus lui faire confiance sur le reste. Car s’agissant de salaire, bien au contraire, et vous le savez bien, N. S. à mis de l’ordre et de la clarté s’agissant de la rémunération du Président de la République et des ministres. Ainsi entre autres, il a supprimé les fonds spéciaux et secrets dans lesquels Mitterrand s'est allègrement servi. Sans doute François H prévoit-il de les rétablir ? C’est à désespérer, des gens qui distillent une vérité biaisée, et le mensonge au premier degré, pour convaincre par manipulation éhontée, les moins bien informés et les plus crédules. Ne jamais oublier que :


« Si l'inégale distribution des richesses est le vice originel du capitalisme. L'égale répartition de la misère est le vice originel du socialisme » (. W. Churchill).


Qu’attend donc François H. pour argumenter et soutenir le contraire ? Lui qui n’a même pas encore fait sienne cette citation de De Gaulle :

« Il n'y a pas de bonne politique en dehors des réalités ».

François H. pourra alors cesser d’être le grand comédien de la grande pièce de théâtre de ce grand numéro, avec un costume bien trop grand pour lui

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7 avril 2012 6 07 /04 /avril /2012 13:01

Ce ne sont pas toujours les systèmes politiques qui font la réussite ou l'échec.
Les politiques de gauche ont été salutaires pour des millions de travailleurs en 1936 à l'époque du front populaire et même jusqu'en 1981 pour la 5eme semaine de congés payés

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Elles ont été salutaires en 1999 (sous le gouvernement Jospin) par la création de la CMU, ou le RMI de Michel Rocard en 1988.
Durant certaines périodes les politiques de gauche peuvent être utiles, c'est le cas dans les périodes de forte croissance, en soulageant les douleurs des peuples
Mais les socialistes français se cantonnent au rôle de "soignants"


Regardez Schroder en Allemagne, ou Clinton aux USA. Ce dernier s'est attaqué de manière raisonnée au déficit budgétaire
sur wiki ils en donnent un bilan
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En quittant la présidence, Clinton laisse une économie en bien meilleur état qu'à son arrivée. Il a réussi à :

    créer plus de 22 millions d’emplois ;
    sept millions d'Americains ne vivent plus dans la pauvreté ;
    ramener le taux d'inflation à son plus bas niveau depuis les années 1960 ;
    permettre à un nombre record d’Américains d’être propriétaires de leur maison ;
    abaisser le chômage au taux le plus bas depuis 30 ans9 ;
    augmenter les salaires à tous les niveaux ;
    rembourser 360 milliards USD de la dette nationale ;
    convertir un déficit budgétaire record en un surplus budgétaire record9 ;
    ramener les dépenses fédérales à leur plus bas niveau depuis 30 ans ;
    augmenter le taux maximum d'imposition de 31% à 40%.
    diminuer les impôts pour les entreprises et la classe moyenne ;
    permettre à un nombre record d’Américains de posséder des actions boursières.

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parlons de schröder article du nouvel obs

Gerhard Schröder, en sept ans de gouvernement (1998-2005) a lancé une politique de réformes dont certaines contestées.

ECONOMIE/SOCIAL :

Le gouvernement social-démocrate/Vert a annoncé en mars 2003 des réformes en profondeur de l'"Etat providence", sous l'appellation "Agenda 2010". Les dispositions les plus contestées concernent le marché du travail, avec une baisse des prestations pour les chômeurs de longue durée.

- Les allocations-chômage ne sont plus versées que pendant un an au maximum (18 mois pour les plus de 55 ans). Au-delà de cette période, les chômeurs reçoivent l'aide sociale, calculée en fonction des besoins des bénéficiaires.
La nouvelle législation renforce les obligations du bénéficiaire, réduisant sa marge de manoeuvre pour choisir un poste. Elle impose d'accepter une proposition d'emploi, même sans rapport avec la qualification initiale et moins bien rémunérée que l'emploi précédent ou que ce que prévoient les accords de branche.

- Réforme de la santé : introduite en 2004, elle limite la prise en charge par les caisses publiques de certains soins ou traitements, et oblige les assurés à acquitter un forfait de 10 euros par trimestre pour les consultations concernant une même maladie.

SOCIETE :

- Vote d'une loi sur l'immigration Elle fixe les quotas d'immigration en fonction des besoins en main d'oeuvre. Entrée en vigueur début 2005, elle oblige les étrangers à plus d'intégration et facilite la lutte contre le terrorisme.


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Il a eu le courage de faire le nécesaire au risque de perdre les élections

 

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Prenons à présent l'exemple de Jospin au gouvernement entre 1997 et 2002

Ses mesures phares :

Emplois-jeunes, prime pour l'emploi, baisse de la TVA, soutien à la consommation, allègements de charges, réforme sur l'annualisation du temps de travail en contrepartie des 35 h

le chômage passe du taux record de 12,2 % à un plancher de 8,6 %, mais il repasse la barre des 9 % en 2002. Les lois Aubry auraient permis de créer environ 350 000 emplois

Sur le plan social, il met en place la Couverture Mutuelle Universelle et l'Allocation d'Autonomie pour les personnes âgées

Pourtant et c'est peut être ce qui lui a coûté l'élection de 2002 (battu au 1er tour faut-il le rappeler?)

16 mars 2000 au journal de TF1

Lionel Jospin : "Nous considérons, que dans la mesure où à l'issue de la discussion sur la cagnotte 99, - comme justement, nous n'avions pas pris les choses suffisamment à temps, - une partie essentielle de ce surplus a été au déficit budgétaire, du coup la façon dont la France réduit ses déficits budgétaires dans l'Europe a été en 99 plus rapide, nous pensons que nous devons consacrer ces 50 milliards à un certain nombre de dépenses et essentiellement à des allégements d'impôts. C'est dans cette double direction que nous irons. Si jamais, il se révélait que plus tard ces surplus étaient plus importants - parce qu'il est quand même très difficile de dire, en mars, quelles seront exactement les rentrées fiscales ou non fiscales pendant toute l'année 2000 - le solde, à ce moment-là, pourrait aller au déficit. C'est pourquoi, aujourd'hui, il nous paraît nécessaire de privilégier quelques dépenses et surtout des allégements fiscaux."

TF1 : Commençons par le "surtout", par les allégements fiscaux. Dans quelle direction : impôts sur le revenu, TVA...?

Lionel Jospin : "D'abord, je vous dis un mot de la répartition. Sur ces 50 milliards, nous pensons que 10 milliards peuvent aller à ces dépenses supplémentaires et 40 milliards à l'allégement d'impôts. C'est donc le choix que nous faisons. Ces allégements d'impôts, nous pensons que nous devons les orienter vers la croissance, vers la réduction des inégalités, donc notamment pour mettre en cause les impôts les plus injustes, c'est-à-dire ceux qui sont payés de la même manière quelles que soient les ressources des personnes - la taxe d'habitation, la TVA. Donc, les trois choix que nous faisons, c'est : diminution de la taxe d'habitation, diminution de l'impôt sur le revenu, diminution de la TVA."

Cependant, ces mesures se révélèrent être un véritable gaspillage d’argent public :

  • L’allégement de TVA n’eut aucun effet au vu des indices des prix d’avril et de mai 2000. En effet, selon le Député Charles de Courson, l’étude de « l’incidence économique de toutes les mesures de TVA prises depuis les années soixante » conduit à conclure qu’« une petite évolution du taux, compris entre 0,5 et 1%, n’a guère de répercussion économique ». La baisse est en effet principalement captée par les circuits de distribution, voire de production, et ne profite pas au consommateur pourtant ciblé. Ainsi, une baisse d’un point de TVA n’a aucun impact sur tous les produits de faible valeur (comme la baguette de pain).
  • La baisse des deux premières tranches de l’impôt sur le revenu s’avère insuffisante pour lutter contre la concurrence fiscale et l’expatriation des Français, dangereuse pour l’impératif d’innovation technologique. Un abaissement de toutes les tranches de l’impôt sur le revenu aurait été à la fois plus juste et efficace.
  • La suppression de la part régionale de la taxe d’habitation a accéléré l’étatisation de la fiscalité locale, en s’opposant à la libre administration des collectivités territoriales

Mais, plus encore, Bercy annonça en juillet que le surplus engrangé ne serait pas de 50 milliards mais de 80 milliards de francs. La croissance produisit en effet des recettes exceptionnelles : par exemple, la baisse de 20,6 à 19,6% de la TVA, qui coûta 9 milliards de francs à l’État, fut compensée par des recettes d’une vingtaine de milliards du fait d’une augmentation de la consommation liée à la croissance inespérée.

Devant cet afflux et craignant la contestation, les voix en faveur de la réduction de l’endettement furent promptement évacuées, notamment celle de Laurent Fabius, le nouveau Ministre de l’économie : « il ne faut pas semer d’illusions (…) on ne peut pas parler de cagnotte lorsque le bonus de recettes de 50 milliards est de 1% par rapport à la dette de notre pays qui est de 5000 milliards ». Sans hésiter longtemps, Lionel Jospin écarta l’orthodoxie budgétaire.

Le Chef du Gouvernement préféra offrir aux électeurs de gauche un horizon plus large que celui de la seule réduction des déficits publics: en novembre, Matignon fixa le curseur du déficit budgétaire 2000 à 209,5 milliards de francs – soit une réduction dérisoire de 6 milliards. Si Jospin avait soigneusement conservé l’excédent, pour l’affecter à la réduction du déficit, celui-ci aurait été réduit à 185 milliards de francs pour 2000. Au contraire, il finança des dépenses conjoncturelles : la suppression de la vignette (10 milliards de francs), les tentatives pour enrayer la hausse du prix du carburant (3 milliards), le soutien à la mise en place des 35 heures ont rogné la cagnotte, auxquelles s’ajouta par exemple le plan de lutte contre la vache folle.

Dépourvues de vision globale, les mesures ponctuelles prises par le gouvernement socialiste sous la pression de ses alliés les plus radicaux sont l’illustration parfaite d’une gestion calamiteuse des deniers publics. Alors que la période était celle d’une croissance supérieure aux prévisions, la situation n’a pas été mise à profit pour réduire la dette. Plus encore, du fait de son impact pérenne sur la structure des comptes, de telles insuffisances dans la gestion des deniers publics expliquent une partie non négligeable de la hausse de l’endettement qui a suivi.

 

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Donc nous pouvons en conclure que les politiques de gauche peuvent être favorables au bien de la nation comme cela a été prouvé maintes fois

Sauf en France ou depuis 1983 aucun gouvernement socialiste ne s'est préoccupé du bien de notre nation mais seulement du bien de ses futurs électeurs, ce qui comprenez-vous est bien différent

 

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 21:43

Nous voyons aujourd'hui toute une génération de socialistes utiliser François Mitterrand comme un étendard de vertu.

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Imaginez simplement ce que les journaleux écriraient si aujourd'hui ...


- Notre Président organisait un faux attentat (l'observatoire) pour tenter de se faire élire,
Imaginez si...
- Notre Président entretenait sa maitresse et sa fille adultérine cachées dans les palais de la république,
Imaginez si...
- Notre Président se rendait chaque Noël sur les bords du Nil au frais de l'état,
Imaginez si...
- Notre Président faisait racheter la société d'un ami (Vibrachoc) par une société d'état pour 5 fois sa valeur,
Imaginez si…
- Notre Président faisait lire durant 8 ans et plus des rapports de santé totalement faux et mensongers,
Imaginez si…
- Notre Président ordonnait à ses sbires policiers d'inventer une histoire de terroristes à Vincennes,
Imaginez si...
- Notre Président obligeait la France, à dévaluer 3 fois de suite en quelques mois,
Imaginez si…
- Notre Président laissait un de ses proches se suicider avec un 357 Magnum à l’Elysée,
Imaginez si…
- Notre Président affirmait qu'il ne sait rien sur la destruction à l'explosif d'un bateau en Nouvelle Zélande,
Imaginez si…
- Notre Président mettait sur écoute sans justification plus de 150 français et affirmait à la TV face à des journalistes belges (des vrais) qu'il n'a jamais commis ce forfait,
Imaginez si…
- Notre Président laissait son ex-premier ministre se suicider un dimanche après-midi,
Imaginez si…
- Notre Président laissait augmenter la dette de la France de plus de 250 % durant son "règne" et ceci sans aucune crise,
Imaginez...Imaginez, imaginez, imaginez... François Mitterrand en symbole de vertu....

Vraiment le PS nous prend pour des cons !

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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 13:17

François Hollande n'aime pas les riches

Mais encore faut-il bien tendre l'oreille pour entendre cet aveu terrifiant

Avant d'aller voter il serait bon de s'en souvenir.

C'est sur qu'avec la gauche au pouvoir nous ne risquerons pas de nous enrichir !

 

 

 

 

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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 08:12

Les socialistes considèrent cette élection comme une chasse gardée. Ils se répartissent à l'avance les bons rôles, sur la base des sondages

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Et lorsque les sondages baissent ils sortent du chapeau quelques vieilles recette contre les riches et assouvissent toujours un peu la vengeance du petit peuple, c'est complètement "démago"

Ils unissent les partis de gauche afin de s'assurer la présidentielle parce que, depuis Mittérand ils ne se sont plus rien mis sous la dent. Tout est mis en œuvre pour gagner dans la surenchère démagogique. Des gens sont capables de tout promettre et s'allier avec n'importe quel parti d'extrême gauche pour monnayer une victoire

Mittérand a mis la retraite à 60 ans. N'était ce pas là le prix de son élection ?

C'est le prix en effet que nous devons payer et nos enfants aussi. Également par exemple nous pourrions citer la mesure qui consiste à vouloir taxer les riches au delà du million à 75 %.
La surenchère de promesses électoralistes n'est qu'une facette

L'autre facette ce sont les attaques basses dont sont capables une pléiade de journalistes. Les Guignols, Nicolas Bedos, Guillon, ou encore Dahan (pour ne citer qu'eux), et d'autres petits comiques viennent ajouter leur pierre à l'édifice. Ils font un travail de fond, un travail de sape sur l'opinion publique. Ils laissent penser par leurs méprisantes interventions que voter à droite c'est être un peu "con" un peu "limité".


Mais que dire des attaques contre Woerth celui qui a osé toucher à la réforme symbolique et idéologique des socialistes

Pour revenir au pouvoir ils devraient admettre leurs erreurs sur la retraite à 60 ans comme sur les 35 heures, et viser l'intérêt de la nation avant de favoriser l'esprit de "copinage" qui tend à se démocratiser dans toutes les strates de notre société

Celui-ci au détriment de la valeur individuelle intrinsèque

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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 00:48
Cette gauche qui nous parle d'idéologie de la tolérance, d'acceptation de tout par tous, finit par tromper les individus et couper les têtes qui dépassent.
Pour assouvir sa doctrine d'acceptation des différences elle finit par supprimer nos différences, parce que penser autrement c'est être jugé. Par exemple je ne suis par sûr que Montebourg restera longtemps au PS, il est trop indépendant et son discours n'est pas normatif.
Ce que souhaite le PS ? Un appauvrissement collectif; le PS souhaite que l'on continue comme avant que surtout nous ne changions rien, que nous continuions d'acheter les produits allemands pour stimuler notre croissance par la consommation, que nous continuions d'importer des produits d'Asie. Sa doctrine devrait être "continuer comme avant, ne rien changer, ne pas admettre ses erreurs, surtout continuer avec une croissance qui est mal alimentée".
La croissance devrait être édifiée sur des bases solides et durables, il ne suffit pas de dire "Jospin avait 3 % de croissance lorsqu'il était à Matignon". Ils ne font rien qui puisse redonner à notre pays sa compétitivité, inventer une idée où la France devrait faire des efforts.
Cette notion d'effort leur est étrangère et je leur reproche de nous mentir, nous présenter un monde qui n'est pas celui de la réalité. C'est facile de glisser un bulletin socialiste dans l'urne, mais derrière leur programme économique trompeur, je vous jure que voter pour ces gens là c'est continuer de soutenir l'idéologie du passé, du renoncement, du refus de la réalité, et l'accepation d'un rétrécissement de nos valeurs
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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 13:01

images-1les emplois perdus ne reviendront pas

L'anecdote a été relatée par quelques témoins

Obama s'adressait à Steeve Jobs et plein d'admiration pour ses 30 000 employés chinois il lui demandait comment il pourrait agir pour que  ces emplois reviennent sur le sol américain

Et le patron de répondre : "ces emplois ne reviendront pas !"

Et c'est tout le drame de ceux que nous appelons envers et contre tout "les pays développés", comme s'ils avaient acquis une suprématie que rien ne pourrait compromettre.

Pourtant ces pays sont en voie de désindustrialisation, de vieillissement, de sur endettement, et de perte de compétitivité pour certains, en un mot en voie de sous-développement ou d'immersion. Nous devrions les nommer les "immergeant" par contradiction avec les émergeant

C'est tout notre drame

Nous pourrons recréer des entreprises et des écosystèmes dans des domaines de pointe, mais notre industrie perdue c'est déjà un échec, un renoncement, un pillage devant lequel nous n'avons guère réagi

Nous parlons sans cesse du chômage, mais sans renoncer à nos idéologies fondamentales sur la taxation du travail plutôt que sur la taxation de la consommation

Je regardais le débat télévisé entre Juppé et Hollande ce jeudi 26 janvier. Quand Juppé parlait de relever le taux de la tva il visait la consommation. Et les français ne veulent pas qu'on les prive d'une certaine partie de leur pouvoir d'achat.

Monsieur Hollande qui a bien compris ce dilemme a déjà renoncé, et préfère continuer d'augmenter les impôts sur les revenus du travail (il augmentera dit-il les cotisations salariales et patronales)

Autre exemple il veut supprimer la niche fiscale sur les heures supplémentaires pour permettre plus d'embauches dans les entreprises au lieu de payer de gens à travailler plus

En filigrane c'est toute l'idéologie socialiste des 30 dernières années qui continue de s'affirmer.

Taxons ceux qui créent de la valeur ajoutée et de la richesse, pour permettre à la consommation de doper la croissance. Et continuons d'assister impuissants à la désindustrialisation de notre pays.

Tout est dit

La gauche français est l'une des seules d'europe à ne pas comprendre les enjeux du XXI ème siècleimages-2

Et nous comme des moutons nous continuons de suivre aveuglément leur doctrine pernicieuse

Maudits soient-ils avec leurs mensonges, maudits soient-ils ces Mittérandiens qui confisquent le pouvoir sous le discours de la démagogie

Bien plus encore que contre l'idée européenne univoque, c'est cette gauche trompeuse que  je veux dénoncer

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 17:55

Nous constatons à travers la difficulté pour François Hollande de se démarquer de son principal adversaire, Sarkozy, un véritable problème de différenciation de l'offre politique.

Autrement dit ces deux candidats, comme du reste Monsieur Bayrou aussi, disent sur les sujets de fond la même chose.

Si Hollande augmente les impôts, Sarkozy lui augmente les taxes. Il existe d'autres petites différences, que je qualifierais de mineures. Mais pour ce qui est de l'Europe, ils sont sur la même ligne. Des années de cohabitation et de succession politique laissent des traces, et les deux partis majoritaires sont dans la succession directe de Mittérand; bien plus que dans celle de De Gaulle.

Nous pouvions dire que Chirac encore défendait une certaine idée Gaulliste, mais celle-ci est définitivement évaporée avec ce président.

D'ailleurs lorsqu'il vient déposer gerbe de fleurs sur la tombe du grand homme, nous n'avons le droit à aucun discours le 9 novembre 2011

En vérité c'est l'UMP et le gouvernement qui marche sur les plates bandes socialistes

images-6Les socialistes sont dans le droite ligne de Mitterand et sa politique pusillanime, rien n'a changé depuis 1983

Il est temps d'appliquer un programme de droite, et cesser de mettre en oeuvre les rêves de Jacques Delors et Mitterand qui sont la ruine de notre nation

 

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